*fais sa ronde...

hj: certes. Mais Morguy est futée, aussi.^^


*hausse un sourcil en voyant son air*

La rédemption existe aussi tu sais?

*Oô*

Morgane. Tu vois qui est Ombrage ?

*fait une légère moue*

Pas vraiment, mais...

Alors je vais te faire un topo : Ombrage est une sale gargouille assoiffée de pouvoir, débordante de mièvrerie et d'hypocrisie, vouant une haine sans limite ainsi qu'un mépris cordiam aux créatures magique et aux hybrides. Et selon ses critères, je rentre dans la seconde catégorie. Ah, n'oublions pas qu'elle ressemble terriblement à un gros crapaud rosâtre.

*énonce ça tranquillement, l'air blasé*

*fronce le nez*

Mais elle a quand même une petite chance de changer. Théoriquement, tout le monde peut.

Si elle change un jour, je veux bien nettoyer Poudlard de fond en comble, ainsi que le ministère et embrasser le ministre.

*l'air de celui qui n'y crois pas un seul instant xD*

*soupire*

Tu pourrais au moins faire semblant d'y croire...

*hausse les sourcils*

Pour me faire plaisir?

*hausse les sourcils*

Même pour te faire plaisir, c'est au-delà de mes possibilités.

*roule les yeux, persiste à penser qu'on puisse changer*

*pense un peu à Ama, et *

hj : XD

Tu cogite ?

*^^*

*hausse une épaule*

Oui.

*ne s'étend pas sur le sujet quand même, se dit que ça la regarde et que Geoffroy pêterait un câble, ce qui serait embêtant*

*hésite un peu*

Morgane, tu pourais me rendre un service ?

*relève le nez vers lui*

Oui, bien sûr.

*fronce un peu les sourcils, se demande ce que c'est. Observatrice, n'a pas loupé son hésitation*

Est-ce que tu pourras discréditer auprès des autres élèves ce qu'auront écrit les journalistes, après la conférence ?

*a en fait terriblement peur que les élèves lui mette tout sur le dos, Poudlard étant l'un des derniers endroits où il se sent bien*

*ne peut s'empêcher de sourire, amusée*

Geoffroy, je doute que tu en aies besoin.

Moi je le crois. Des tas d'élèves ont perdus de la famille et ils cherchent un bouc émissaire. Je suis tout désigné pour porter le chapeau.

*sombre*

*hausse les sourcils*

Evidemment que si tu veux que tout le monde t'aime, c'est mort. Si tu savais le nombre de gens rien qu'à Serdaigle qui ne m'aiment pas sans que j'ai à me fouler.

*plus douce*

Tu sais, l'attaque de juin aura au moins mis du plomb dans la cervelle de beaucoup de gens.

*se braque aussitôt en l'entendant parler de juin et se referme, plus froid*

Le pire cauchemar de ma carrière. La pire des attaques des Mangemorts. La pire humiliation des Aurors. Le plus atroce carnage de Grande-Bretagne depuis des années. Oui, personne n'oubliera. Personne n'oubliera jamais. Tu n'oubliera pas, de même que tous ceux blessé ou qui on perdu des proches à cause d'Andùnë. Car il a clamé haut et fort que j'étais son fils. Tu le savais ?

*fronce les sourcils*

Tu le savais aussi, qu'il n'a pas arrêté de crier contre ses enfants indignes? J'y étais moi aussi, je te rappelle.

*croise les bras*

Et tu sais quoi? Y en a de plus en plus qui veulent devenir auror. Génération active.

Je ne me fais pas d'illusion. La moitié seulement voudront continuer. Dès la publication de cet article, les parents vont écrire à la pelle à leurs gosses pour leur interdire de devenir auror, soit par crainte pour eux, soit par crainte pour la famille. Toi, tu peux le faire car tu te fiche du qu'en-dire-t-on. Narya ne démordra jamais de son idée. Il y a sans doute beaucoup d'élève qui ne lâcheront pas. Mais il faudra encore cinq ans avant qu'ils soit diplômé.

*><*

*soupire*

Moi je trouve que rien que l'idée, c'est déjà bien. Tu préfères que tout le monde se dise qu'il vaut mieux se terrer?

J'en sais rien...

*se passe la main dans les cheveux*

Mais j'en ai marre de tout ça. J'ai juste envie de me casser une semaine chez moi, de me détendre tout mon content et revenir ensuite.

*crevé depuis le dernier enterrement*

*hausse les sourcils*

Et tu peux pas?

Non... j'ai trop de boulot et trop de responsabilités. Si je fous le camp maintenant, même pour deux jours, je me prend une humiliation en règle à mon retour.

*grimace*

La moitié du temps je dois même dormir au ministère pour povoir finir à temps mon boulot... l'administration pique une crise si jamais j'ai ne serais-ce qu'un quart d'heure de retard.

*prise d'une inspiration subite, le prend par la main et l'entraîne dans un tout autre couloir*

Viens..