*prend le thé...

... au manoir Volturi, après être tout juste rentrée de voyage. Vient d'apprendre qu'Alec et Fabrizio sont redevenus comme cul et chemise [hj: "qui fait le cul?" demanderait ma soeur...] grâce à... la petite amie loup-garou de Fab dont elle n'arrive pas à retenir le nom*

*reste calme en touillant son thé, mais est furieuse en fait, parce qu'elle a essayé de les réconcilier pendant des tas de décennies sans succès, alors que Donna plie l'affaire en dix minutes*


hj: Aleeec!

*vient d'apprendre que Rosalind est rentrée, vient donc faire un tour au manoir*

Rosie ?

Alec...

*ne se lève pas pour l'accueillir contrairement à son habitude, un brin crispée. Regarde le mur d'en face, les dents serrées*

*hausse les sourcils de la voir faire*

Qu'est-ce qu'il y a ?

Rien du tout.

*fait éclater sa tasse de porcelaine préférée entre ses doigts, fronce les sourcils*

... Hmm.

Bien sûr.

*roule les yeux, et croise les bras, la regarde*

Qu'est-ce que j'ai fait ?

*ne répond pas tout de suite, occupée à ramasser les morceaux*

*relève les yeux*

Alec, tu as de l'estime pour mon opinion?

*fronce les sourcils, ne comprend rien*

Tu sais bien que oui.

Pourquoi ne m'as-tu jamais écoutée quand j'essayais de te réconcilier avec Fabrizio?

*froide mais tout en restant mondaine, ne peut se départir de ses manières*

*soupire longuement en comprenant*

C'est pour ça que tu me fais la tête ?

*hausse un sourcil, n'appréciant pas trop la formulation mais bon, c'est quand même assez ça*

Tu veux dire que je n'ai pas de bonne raison d'être en colère?

*hausse les épaules*

Les choses ont changées.

Et pour quelle raison?

*agacée, s'impatiente*

Parce que je me suis retrouvé terriblement affaibli avec Donna et qu'elle m'a aidé.

*s'assoit dans un fauteuil*

Et au final, on s'entend bien.

*hausse les sourcils*

Que ça te plaise ou non.

Je n'arrive pas à y croire.

*secoue la tête, vexée et blessée*

Après toutes ces années à être amis... vous la préférez à moi?

*inclut Fabrizio dans son blâme*

*soupire longuement*

Arrête, Rosalind, ce n'est pas une question de préférence.

Eh bien de quoi s'agit-il?

*soupire avec irritation*

Tout ce temps que j'ai passé à essayer de vous rapprocher... et vous ne m'avez jamais écouté.

Ecoute, ces derniers temps, ce qui nous séparait encore plus, c'était le fait que j'ai torturé sa copine et que je voulais éventuellement la bouffer.

*hausse les sourcils*

Alors une fois que ce problème a été écarté, ça a été beaucoup plus simple. J'ai voulu partir faire des recherches sur mon passé, Fabrizio est venu, et ça s'est fait naturellement.

*garde le silence quelques instants, sans que son irritation ne diminue*

Pourquoi vous ne m'en avez pas parlé avant?

*hausse les épaules, ne comprend pas tellement pourquoi elle se met dans des états pareils*

Je ne sais pas.

*hausse un sourcil*

Je te remercie de cette réponse réconfortante, Alec...

*soupire*

Ecoute Rosie, c'est fait maintenant.

Alors quoi? Tout ce que j'ai pu faire ne servait à rien?

*déçue et froissée*

Pendant des décennies, Alec.

Je sais.

*hausse les sourcils*

Mais c'est fait, on s'entend bien à nouveau. Tu ne pourrais pas te concentrer là-dessus ?

J'ai un peu de mal, tu comprends.

*hausse les sourcils*

Il a fallu que Demetri me l'apprenne... J'aurais continué à l'ignorer encore combien de temps?