*se promène en bordure du village...

... après avoir passé sa journée à soigner les coeurs brisés du coin. Les mains dans les poches de son blouson, profite du vent frais*

*marche en direction de la Forêt interdite, attend que Fab se ramène, sait qu'il est dans le coin et s'est dit qu'elle le verrait bien*



hj: Faaab!

*était au Manoir, en sort en sentant l'aura de Gaby, vient rapidement la rejoindre*

Bonjour, belle blonde.

*sourit légèrement en l'apercevant et en l'entendant*

Salut, beau brun!

*lui sourit*

Comment vas-tu ?

Mais... très bien, très bien.

*le ton aussi léger que d'ordinaire*

Et toi?

Parfaitement bien.

*acquiesce*

Pour une fois, tout va bien.

Oui, c'est rare.

*le regarde en souriant*

Je suis contente pour toi.

Je suis content pour moi aussi.

*hoche la tête*

*amusée*

Je m'en doute... Alors, le Danemark, c'était comment?

*bien sûr au courant*

C'était... très sympa.

*acquiesce*

Vraiment.

Vraiment?

*penche un peu la tête en le regardant*

Raconte-moi.

Eh bien, nous avons fait un peu de tourisme, déjà.

*sourit légèrement*

C'est très joli. Et puis, on a écumé les archives de l'époque d'Alec.

Et qu'est-ce que vous avez trouvé?

*sourit de le voir sourire*

Un dessin approximatif d'Alec et de sa fiancée.

*acquiesce*

Malheureusement, aucune trace d'un quelconque dessin ou d'une gravure d'Alec en collants.

*retient un rire*

Quel dommage...!

*reprend un peu de sérieux mais reste toujours assez décontractée*

Alors ça y est? Vous avez renoué, tous les deux?

Oui...

*hoche la tête*

C'est redevenu comme avant.

Vraiment comme avant?

*ne peut s'empêcher d'être un peu surprise*

*hausse une épaule*

Plus ou moins.

Et... c'est bien?

*le regarde*

Oui... oui, ça fait du bien.

*sourit légèrement*

Pas de rancoeur, alors?

*lui fait signe de la suivre, reprend sa marche*

*secoue la tête*

Non... Et puis, Donna l'aime bien.

C'est vrai.

*acquiesce*

C'était assez imprévisible.

*même elle ne l'a pas vu venir*

Oui, je me demande encore comment le monde n'a pas implosé.

*roule les yeux, amusé*

Ils sont terribles tous les deux en plus.

*retient un sourire*

Et tu es une pauvre victime.