*vient voir Fab...

*amusée*

Oh on a encore des anges exterminateurs Là-Haut. Mais ils n'éliminent plus que des individus.

*plisse le nez*

Ils sont carrément insupportables d'ailleurs.

*grimace*

Je veux bien le croire.

Prie pour qu'ils descendent pas te voir.

*amusée*

Oh, qu'ils m'achèvent.

*amusé*

Ça me fera des vacances.

Dis pas ça...

*fait la moue*

Qui est-ce que je viendrais voir alors, quand Cup' est occupé?

Oh, tu trouverais bien quelqu'un, je suis sûr.

*passe un bras autour de ses épaule*

Ouais mais un moins cool.

*fronce les sourcils*

C'est le parfum de Donna que je sens?

*sur sa veste. Lit dans ses pensées, connait sa vie et tout, mais par respect pour son intimité ne va pas chercher tous les détails non plus*

Hmm ?

*hausse les sourcils*

Oh, ouais. Elle met souvent ma veste, là.

Ah.

*pince les lèvres, et n'ajoute rien, pensive. Se dit qu'il va falloir qu'elle en parle à Cupidon*

Quoi ?

*fronce les sourcils*

C'est quand elle a froid.

*sort de ses pensées*

J'ai rien dit.

*^^*

*roule les yeux*

Pas la peine de le dire.

*soupire longuement*

Nan, mais j'ai tellement de travail tu comprends. J'ai pas envie de m'en rajouter.

*marmonne*

J'ai assez de mal comme ça à te trouver une nana, en plus.

*amusé*

Je comprends bien. Je suis difficile.

*fronce les sourcils*

Dis plutôt que t'aimes me faire chier.

*x)*

*moue pensive*

Oui, c'est pas faux.

*le regarde absolument sans sourire*

Enfoiré. Si c'est ça, je ne cherche plus.

*garde le même air, pince-sans-rire*

*sourit légèrement en coin*

Tu m'aimes trop pour ça.

Tu es trop habitué à ce que tout le monde t'aime.

*blasée d'un tel constat*

Ce serait bien qu'on trouve quelqu'un qui t'aime un peu moins.

*genre ce serait bon pour lui xD*

*secoue la tête*

C'est cruel ça. J'y suis pour rien si on m'aime.

*le ton badin*

Si tu veux, je te défigure. Tu verras, on t'aimera beaucoup moins.

*plisse les yeux*

Alors ça non. Autant me tuer.

*lui colle un gros bisous sur la joue, bien bruyant*

Dis pas des bêtises pareilles.

*le regarde d'un air finement observateur*

La mort ne t'irait pas au teint.

*amusée*

Gnagnagna.

*amusé*

Arrête de raconter des conneries toi.

Naaaah.

*le ton aussi guilleret que d'accoutumé*

Si je le fais pas, y a personne pour le faire à ma place. Et c'est pas bon d'être trop sérieux tout le temps.