*s'ennuie...

... le soir, traîne un peu*

*sort du village, marche automatiquement vers la Cabane Hurlante, aimait bien venir ici*

*s'arrête devant la barrière et la contemple un moment. Se rappelle qu'elle a rencontré Liam ici*

~J'aurai pas dû venir.~

*secoue la tête et se retourne*


hj: Emmett! (pas Cullen xD)

*a senti l'odeur d'Ania, arrive vers elle*

Bouh.

*x)*

*roule les yeux en le voyant et ne répond rien, passe à côté de lui*

*a envie d'être seule*

*fait une légère moue*

Hey...

Quoi?

*sèche, limite agressive*

*s'arrête quand même*

*hausse les épaules*

Tu pourrais au moins dire bonjour.

Bonjour.

*lui fait un sourire sarcastique et déplaisant*

Ca ira là?

Non.

*amusé*

*secoue la tête*

Laisse-moi.

*jette encore un coup d'oeil à la cabane, parait s'assombrir*

*tourne les yeux vers la cabane*

Qu'est-ce qu'il y a ?

Rien.

*hausse une épaule et reprend son masque d'impassibilité*

*hausse les sourcils puis sourit largement en remarquant qu'il voit qu'elle lui ment*

Héhéhéhé.

Qu'est-ce qui te prend?

*le regarde bizarrement*

Ania, Ania, Ania...

*amusé*

Tu m'as bien dit que tu étais insensible à tous les dons des autres vampires, hm ?

Oui.

*hausse les sourcils*

Pourquoi?

Parce que tu ne résistes pas au mien.

*sourit*

*sourire moqueur, ne le croit pas*

C'est ça.

*résiste à tout le monde même aux Volturi donc a confiance*

*rit légèrement*

Il y a une exception à toute règle, non ?

Non.

*hausse une épaule en se foutant de sa gueule*

Et c'est quoi ton don?

Je sais quand on me ment.

*hausse les sourcils*

Et pas comme n'importe qui pense savoir que quelqu'un lui ment. Moi je le sais.

*plisse les yeux*

Je ne te crois pas.

*parle du fait qu'elle ne résiste pas à son don*

*rit un peu*

Comme tu voudras.

*commence à se méfier un peu*

Qu'est-ce que tu viens foutre là?

*hausse les épaules*

Je suis venu rendre visite à Fabrizio.

*se tend un peu*

C'est un Volturi c'est ça?

*les déteste même si elle fait très attention à ne pas les emmerder*

Alec a failli tuer Liam.

*parle sans refléchir*