*Dans sa chambre*

*a fait installer un piano à queue et y joue depuis quelques dizaines de minutes maintenant. Jouant à la perfection*

hj: Lupy ! Qui tu veux.

*venu rendre visite à Carlisle, entend le piano à l'étage et reconnait l'odeur de Margot*

*frappe un coup à la porte et entre*

Bonjour...

*S'arrête sur une fausse note et grimace comme une gamine capricieuse*

Fabrizio. Quand apprendras tu le respect ?

*Soupir faussement réprobateur en se tournant vers lui*

*prend une moue pensive*

Le quoi ?

*Eclate de rire*

Bonjour.

*Secoue la tête et se lève pour aller lui faire la bise à la française*

Comment vas-tu ?

*sourit légèrement*

Pas trop mal. Et toi, alors ?

Très bien. Tu en douterais ?

*penche la tête, l'air mondain*

Absolument pas.

*amusé*

Alors, l'air de Pré au Lard te plait ?

Il est assez agréable de pouvoir sortir quand on veut. Pour cela, la France n'est pas vraiment idéale.

*Air aristo*

Tout comme l'Italie d'ailleurs.

*Lui parle en italien, non en anglais*

Ca fait longtemps que tu es ici ?

*hoche la tête*

Ca fait pas plus d'un an, oui. C'est assez agréable.

Je vois. Je préfère la France tout de même. Si l'o va dans le Nord ou en Bretagne, il n'y a pas trop de soleil.

*^^*

Tu y es déjà allé ?

*acquiesce*

Je suis allé à peu près partout.

*sourit en coin*

Flambeur.

*En français*

*Lui fait un clin d'oeil*

*s'assoit sur son canapé*

Alors comme ça Miss veut apprendre à être végétarienne ?

Une lubbie.

*Hausse une épaule*

Evite de le répéter, mais je m'ennuyais, en fait. Ca met un peud e piment dans ma vie.

*Nonchalante*

*air faussement choqué*

Tu t'ennuyais ?

Oh, ce n'est pas comme si tu ne te doutais pas que ce n'était que ça, Fabrizio. Je ne suis pas une sainte.

*Ne tue que des hommes et toujours des sales types.*

Même s'il manquera quelqu'un comme moi, une fois que je serais désintoxiquée.

*Pensive*

C'est vrai.

*sourit légèrement, amusé*

Enfin... rien ne nous dit que je ne replongerai pas.

*Hausse une épaule*

Un cognac ?

*Se dirige vers une petite table basse du côté salon de sa chambre, aménagée style Louis XV*

*moue pensive*

Moui, pourquoi pas...

*lui en sert un en même temps qu'elle*

Enfin, quoiqu'il en soit nous nous retrouvons à plusieurs de l'ancien temps ici. J'ai appris qu'Alec était ici.

*Lui tend le verre avec un regard brillant, joyeux*

*Couchait encore avec lui le siècle dernier*

*grimace*

Ouais, il est là.

*prend le verre*

Boit un coup, ça ira mieux après.

*Voit bien et sait que ça ne le réjouit pas du tout. Air conciliant*

Etonnament, je me doutais qu'il passerait ici un jour ou l'autre. Toutes cette viande jeune, trépidante, fraîche... à sa portée.

*roule les yeux*

Il aurait pu aller ailleurs.

Tu t'entends toujours aussi mal avec lui ?

*sourire en coin*

hj: quel est leur lien de parenté déjà ?