*Est entrée par la fenêtre*

*Alors qu'Edward n'est pas dans la pièce, pour prendre quelques affaires*

hj: Ed !

*rentre dans la chambre, se fige en voyant Haley, reste impassible*

*Se fige aussi et se mord la lèvre, trouvant cela très douloureux comme rencontre*

Bonsoir.

Bonsoir.

*froid*

Tu pouvais entrer par la porte.

Je n'ai pas osé.

*Hausse une épaule et referme la fenêtre*

Je te croyais parti chasser.

hj: je répond qu'à ça, je fais moncommentaire de philo ^^

hj: Okay! Ouh la, bon courage ^^ C'est quoi le sujet?

J'étais en effet parti chasser.

*hausse une épaule*

hj: Hannah Arendt sur l'art et le travail >< iiiirk ! Merci^^

Oh...

*hoche la tête, sans savoir quoi faire à présent*

hj: Yek! Double bon courage ^^

*va vers sa bibliothèque sans plus faire attention à elle*

*Hésite à dire quelque chose mais va vers l'armoire pour prendre le reste de ses affaires. Les met dans un sac puis va vers la bibliothèque pour reprendre ses livres*

Je peux ?

*Murmure, incertaine*

*hausse les épaules et se décale*

Reprends ce qui est à toi.

*Hoche la tête et obtempère snas un mot*

*va s'assoir sur le canapé et la regarde faire*

Tu habites où?

Aux Trois Balais.

*Se mord la lèvre et fait ça rapidement. Se retourne vers lui, au milieu de ce qu'elle fait*

Edward, je...

*hausse les sourcils*

Tu?

Je ne me suis jamais sentie aussi mal de ma vie.

*Le regarde dans les yeux, troublée*

*la regarde, fronçant légèrement les sourcils*

Comment ça, mal?

Je... j'en sais rien.

*Baisse les yeux*

Ca fait presque deux semaines... et je ne m'en remets pas.

*hausse les épaules*

Va voir ton Lupin, tu te sentiras mieux.

*Baisse les yeux*

~ Je suppose que je l'ai bien mérité.~

Ce n'est pas naturel.

*lève les yeux au ciel*

Qu'est-ce qui n'est pas naturel?

Cette attirance que j'ai pour lui.

*Murmure**

*hausse un sourcil*

Hmhm.

*Soupire*

Okay, t'en as rien à foutre. Je comprend.

*se remet à fourrer ses bouquins dans son sac*

*hausse les épaules*

Effectivement, j'en ai rien à faire.

*se lève*

*Roule les yeux*

Pas besoin de m'affaler sous ton mépris.