[à garder] *dans la soirée...

*sourire colgate*

Que voulez-vous je me défends comme je peux.

Vous appellez ça de la défense ?

*fronce les sourcils*

Dans ce cas-là ? Oui.

* *

On a pas la même conception du mot "défense".

*la foudroie du regard*

Je vous ai vexé peut être ?

Vexé ?

*sourire en coin*

Je suis invexable.

*^^*

Vous le cachez bien !

*^^*

L'avantage d'être de mauvaise foi, c'est qu'on est pas obliger d'assumer ses actes intérieurs.

*sourit en coin, amusée*

Je vois ça !

Bien pour ça que je suis Serpentard. Je vous classe plutôt entre un Pouffys naïf et niais et un Gyffondor sans cervelle.

*sourire sarcastique*

hj: L'est vraiment chiant, mdr !

Très drôle. Vous avez redoublé combien de fois à l'école du rire ?

*ironique*

hj : je vois ça Oo

Aucune. Il ne m'ont pas accepté, j'étais trop bon.

*sourire goguenard*

Vous m'en voyez navrée. Si, si, vraiment. Ca aurait pu vous être utile.

Je n'aurais put me résoudre à gâcher mon incomparable talent humoristique.

*sourire railleur*

Ca va les chevilles ? Vous arrivez encore à passer les portes ?

Voyez par vous même, il me semble que mes chevilles rentrent toujours dans mes bottes. C'est malheureux, de la miopye, à votre âge ?

*roule des yeux, amusée, fait demi-tour en se dirigeant vers la salle d'entraînement*

Si vous le dites.

*décider à l'emmerder, la suit nonchalemment *

*soupire*

Vous ne pourriez pas me lâcher un peu les baskets ?

En tout honneur ?

*sourire dentifrice*

Non.

*ayant sérieusement besoin de se défouler, passe la porte sans plus un regard pour lui et va chercher son katana puis se tourne enfin vers lui*

Permettez, j'ai besoin de calme.

*plisse les yeux*

J'en tremble, vous êtes terrifiante, si si, vraiment !

*roule des yeux, commençant à perdre son calme*

Je ne cherche pas à être terrifiante, mais je ne peux pas travailler avec vous dans mes pattes.

Rien que pour ça, ça me donne envie de rester, vous voyez.

*lève les yeux au ciel et, réduisant son sabre, le glisse dans sa poche*

J'abandonne.

*sort de la salle, passant devant la cellule de l'Aroshrak, et se laisse tomber dans un fauteuil*